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introduction

«Ses œuvres apparaissent comme le fruit de la lente maturation d’un art qui, à travers des voies souvent détournées, s’est de plus en plus éloigné du monde des apparences pour se concentrer sur des images mentales. Les constructions orthogonales sont devenues épures géométriques, les masses de couleurs rares, brossées avec une extrême sensibilité, ont absorbé la quasi-totalité des signes plus ou moins évocateurs de la réalité.
Le dessin et la couleur, le géométrique et l’informe, le déterminé et l’indéterminé, la transparence et l’opacité, le tangible et l’impondérable, le dehors et le dedans sont les termes contradictoires de ce langage pictural motivé par un besoin profond de signifier une réflexion quasi philosophique sur la nature des choses».
Geneviève Breerette. Le Monde, 20 octobre 1971

One can see his paintings as the slow fruition of an art that moved – through various and often alternate ways – further and further away from the world of appearances in order to focus on mental images. Orthogonal designs have become geometric drawings ; seldom color masses, brushed with extreme sensitivity, have swallowed much of the evocative remnants of reality.
The drawing and the color ; the geometric and the shapeless ; the definite and the indefinite ; the transparence and the opacity ; the tangible and the imponderable ; the outside and the inside are the opposite terms of a pictorial language driven by the profound need to signify an almost philosophical reflection about the nature of things.
Geneviève Breerette. Le Monde, October 20 th , 1971